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16 février 2018 5 16 /02 /février /2018 12:50

Je m'appelle Joseph, je suis Américain.

Quand Hitler a pris le pouvoir de l'Allemagne, je me suis dit «ça sent la guerre» car Hitler s'est allié avec l' Italie et l' U.R.S.S. La guerre a éclaté. Nous, américains, nous restions chez nous. On voulait éviter la guerre, surtout moi, qui était soldat pour être plus franc pilote de chasse. Et ce que je ne savais pas c'était que j'étais celui qui allait laisser tomber la bombe atomique.

 

Quand les japs (japonais) ont attaqué Pearl Harbor (base américaine), nous sommes entrés en guerre. Nous avons fait reculer les troupes allemandes. Jusqu'au jour où ils se sont inclinés et ont signé le traité de paix. Les japs ne voulant pas se rendre, le gouvernement américain m'a envoyé larguer une bombe atomique sur Nagasaki puis sur Hiroshima. Une fois, les deux bombes largués, les japs se rendirent et se fut la fin de la guerre.

 

 

Charles Boulangué

Julien Hars

Théo Prémel-Cabic

tome 1

 

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9 février 2018 5 09 /02 /février /2018 13:18

CHAPITRE 3

Il était à côté de moi!!!!!!! Qui? Vous le savez déjà!!! C’était l’inconnu!!!!!!!!!

Ma tête posée sur ses genoux et ses bras autour de ma taille. La sueur qui me recouvrait perlait sur ses bras et la douce lueur du soir nous enveloppait dans un cocon. Plus rien, ni personne ne pouvait nous arrêter. Et c’est bien cela qui me faisait le plus peur. Son regard ne me lâchait mais ses bras commençaient à ressentir de la faiblesse. Je sentais ses mains m'agripper mais je finis par tomber. Le cocon se brisa et le temps se stoppa, je finis par, manque de force, retomber dans les pommes.

                                *

 Je me suis réveillée quelques secondes plus tard. Recouverte de sueur et tête contre le sol. Je cherchais désespérément du regard l'inconnu. Quand je me suis rendue compte que je ne le trouverais pas........mon cœur se brisa. Je ne comprenais pas pourquoi je réagissais comme ça. Je ne savais même pas son nom mais j'avais une folle envie de le retrouver.

Avec tout ça j’en avais complètement oublié ma mère. Je ne savais même pas quelle heure il était. HALALA!!!!!!!!!!!!!!!!!! Qu'est ce que j'ai fais!!!!!!!!!!!!

J'entends quelqu’un monter les escaliers. Je dois me relever. Je plaque mes mains sur le sol et je pousse le plancher de toutes mes forces. Mon corps remonte vers la surface mais........je retombe dans un sommeil profond.

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9 février 2018 5 09 /02 /février /2018 13:17

Y a-t-il des choses que vous croyiez dans votre enfance ? Nous oui !!! En voici quelques exemples (nous n'avons pas pu tout mettre, il y a beaucoup trop de choses.) :)

Je croyais que …

  • De petits êtres étranges vivaient dans mon corps ;

  • Le Midi était une ville qui n'existait que le midi ;

  • Que mon cœur se déplaçait dans mon corps ;

  • Que la vie était en noir et blanc jusqu'à l'apparition de la couleur sur les écrans ;

  • Que ma mère mettait des couches ;

  • Que quand il pleuvait, c'était les nuages qui  pleuraient et que quand il y avait du tonnerre,  Dieu bougeait ses meubles ;

  • Que si j’avalai un chewing-gum, j'allais mourir ( car il aurait bouché tous mes organes ) ;

  • Que si on allait chez la psy, on était des psychopathes ;

  • Que si je mettais du fromage dans le bureau de mon père, des souris viendrait me dire bonjour ;

  • Que comme dans princesse Sofia si on avait un problème une princesse apparaîtrait ;

  • Que si je mettais des fleurs dans la boue, on pouvait boire la boue ;

  • Qu'un monsieur méchant allait venir me chercher si je faisais des '' bêtises '' ;

  • Je pensais que mes jouets étaient vivants ;

Et voilà, nous vous avons tout dit.

Y a-t-il des choses que vous croyiez dans votre enfance ? Nous oui !!! En voici quelques exemples (nous n'avons pas pu tout mettre, il y a beaucoup trop de choses.) :)

 TM

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26 janvier 2018 5 26 /01 /janvier /2018 13:10

CHAPITRE 2

Je me suis réveillée quelques heures plus tard ou, quelques jours plus tard (je ne sais pas trop). Tout ce que je sais c’est que je ne voyais plus rien. Etais-je dans une pièce sombre ou était-ce mes yeux qui ne voyaient pas? Mes mains tâtaient le sol espérant trouver quelconque poignée ou source de lumière pouvant me sortir de ce noir absolu. La pièce semblait sans fin. Je pouvais toucher les murs de droite et gauche mais je ne pouvais pas toucher le mur devant moi, ni même celui de derrière. Le sol était parsemé de petites pierres qui semblaient être spécialement conçues pour me torturer le pied. Je n’avais même pas prêté attention à mes habits. Je n’avais plus de chaussures, manteaux, ni même de pantalons! Je devais avoir une robe ou quelque chose comme ça. A quoi devais-je ressembler? Mes pieds en sang et une robe que je ne distinguais même pas.

Je me surpris à parler toute seule…mais après tout….quelle importance….

 Il n’y avait aucune issue. Je me sentais comme emprisonnée dans un piège que j’avais moi-même conçu. J’étais faible, fatiguée et surtout, innocente! Ce calme que je cherchais tant avant était devenu mon ennemi. Je ne savais même pas si je sortirai un jour de ce noir absolu. Mon souffle s’arrêta au moment où j’entendis un bruit...

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19 janvier 2018 5 19 /01 /janvier /2018 13:09

CHAPITRE 1

Je suis en train de mourir. Vais-je survivre ? L’amour est-il plus fort que la mort ? Je ferais tout ce qui en mon pouvoir pour rester avec lui….du moins…avec cette chose…….

Tout a commencé un jour d’hiver quand la moitié des élèves étaient au retard, quand les profs étaient déprimés, quand les nuages ne se distinguaient même pas parmi ce brouillard….bref l’hiver. Ce jour-là j’avais 13 ans. J’avais une vie monotone et puis, qu’y a-t-il d’amusant dans une vie d’hiver. Franchement…….rien !!!

Chaque soir, je devais rentrer à pied, cela ne m’enchantait pas trop mais au moins j’avais le temps de réfléchir sur…….ma semaine….ou…..m’ennuyer !

Je mis mon manteau, les couloirs de l’école étaient vides. Chaque fenêtre était recouverte de neige et, l’air froid me glissait entre les doigts. Je me mis à dessiner un sourire sur les vitres blanches, cela donnerai peut être un petit peu d’espoir dans cette école glaciale… mon doigt se stoppa quand je me rendis compte qu’il était déjà 18 heures! Je devais rentrer. La seule fois où j’étais rentrée aussi tard, je m’étais fait priver de sorties pendant 2 mois !!!!!!

Dehors, il faisait très froid, de la neige coulait sur mon visage gelé. Mes pieds, tels des glaçons n’avaient plus de forces, mes doigts étaient sur le point de casser et ma tête… je ne vous en parle même pas ! On pouvait regarder la neige sur les voitures. Je ne prêtais même plus attention à la route, mes pieds me conduisaient toute seule. Je n’avais aucune envie de me faire priver de sortie !!! Surtout parce que c’était l’anniversaire de Sélène, ma meilleure amie, le weekend suivant.

Tout d’un coup, je me cognai contre quelqu’un. Tous mes cahiers tombèrent, je ne les ramassais même pas. Cette sensation de déjà vu me frappa l’œil. Pourtant je ne l’avais jamais vu. Il était brun et le reste de son corps était noir, recouvert de neige se mélangeant sur son sweat couleur noir profond. Son visage magnifique me fixait du regard. Ses yeux dessinés aux traits fin me rendirent folles. Après de longues minutes de contemplation, je me rendis compte que j’étais en train de le fixer depuis longtemps et que je commençais à avoir des crampes. J’avais même oublié que toutes mes affaires étaient tombées et que je n’arrivais même plus à lire mon écriture. Voulant les ramasser, je tombais et comme il ne bougeait pas pour m’aider, je dus me relever toute seule. J’étais trempée ! Je courus sans me retourner et espérant que je ne le reverrais jamais. Il aurait pu m’aider quand même !!! Encore une fois, je retombais mais cette fois l’inconnu était déjà très loin de moi. Je ne voulais même pas me relever. Je le dus car à peine ma tête relevée que quelqu’un me rentra dedans :

« -Pardon, je ne t’avais pas vu ».

J’avais envie de me relever et de demander à cette personne de m’expliquer comment on ne pouvait pas voir une fille allongée par terre, désespérée et sur le point de pleurer de fatigue!!! Mais….Il était là, devant moi. Immobile !!! Ma première question n’était même pas de savoir comment il avait fait pour parcourir 100 mètres….mais de me demander « Pourquoi ? »

Et c’est à ce moment-là que mon cœur s’arrêta.

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19 janvier 2018 5 19 /01 /janvier /2018 13:04

Chapitre 1

 

Il était une fois dans un pays lointain, très lointain, une licorne, qui vivait avec toute sa famille. Je dis bien « vivait ». Oui, parce qu’un jour une terrible tempête s’abattit sur le pays des licornes. Toute la famille de Lili avait disparu. Vous devez vous demander qui est Lili ? Bah, Lili, c’est la petite licorne qui a perdu sa famille dans la tempête. Bref… Passons. Je vais vous raconter l’histoire de Lili…

 

 

On est le 11 décembre, le jour de la naissance de Lili. Sa mère, quand elle a accouché, c’était comme son cadeau de Noël. Lili est un ange venu du ciel, elle veut faire comme sa maman. Elle est l’enfant parfaite, enfin presque. Lili n’a pas de corne. Pourquoi ? Parce que son père est un cheval et il a disparu, il s’est fait kidnapper par des cow-boys et on ne l’a jamais revu. Lili, elle ne l’a jamais connu, il est parti dans le désert deux semaines après sa naissance et c’est dans le désert qui s’est fait kidnapper. Lili, ressemble à sa mère mais en même temps à son père (normal), elle est pleine de couleurs comme sa maman et n’a pas de corne comme son père. Moi, je trouve que ça fait un joli mélange, mais on se moque de ce que je pense, bref… Continuons…

 

Maintenant, je vais vous dire la famille de Lili, alors :

 

Du côté de la maman (la famille des licornes) :

Le grand-père : il est mort pendant la 3e Guerre Mondiale.

La grand-mère : Ginette.

La marraine : Bonbon.

Le tonton : Gabriel.

Et la maman : Arc en ciel

 

Du coté du père (la famille des chevaux) :

Le grand-père : Marcel.

La grand-mère : Solange.

La tante : Violette.

Le parrain : Larry.

Et le père : Spirit

 

Vous vous dites du côté de la mère : mais il n’a pas de prénom et il n’y a jamais eu de 3e Guerre Mondiale !!!

Chut !!!

Si ! Il y a eu la 3e Guerre Mondiale mais chez les licornes ! Et son grand- père n’a jamais dit son prénom car il n’aimait pas son prénom, du coup ils l’appelaient papy, tout simplement.

 

Donc je disais, on est le 11 décembre, et c’est la naissance de Lili. Son père est parti deux semaines après…

La tempête arriva quand elle avait 10 ans, sa famille avait creusé un bunker, où il avait beaucoup de nourriture, beaucoup à boire et un lit. Mais le bunker était seulement pour Lili, si quelque chose de grave arrivait et là, c’est le cas (la tempête).

Et il resta pendant un mois, elle se sentait seule, quand à ce moment là quelqu’un toqua. Comme l’avait demandé sa mère, Lili ne répondit pas. La personne retoqua, et dit : « Lili, c’est moi, c’est maman ! » Lili, toute estomaquée, répondit que ce n’était pas possible et qu’elle avait disparu dans la tempête. Lili ouvrit quand même la porte pour avoir le cœur net, elle ouvrit la porte, et, il y avait bel et bien sa mère mais elle n’était pas toute seule, elle était avec des bandits ! Sur le coup, Lili prise de panique, se sauva loin, très loin du bunker et des bandits. Elle réussit à les semer mais elle se dit qu’il ne fallait pas laisser sa mère, car peut-être, elle ne la reverrait de sa vie… Lili fit demi-tour et se rendit vers eux. Les bandits partirent vers le désert et ils les vendirent à des cow-boys. Une fois dans les boxes, Lili remarqua qu’il y avait le reste de sa famille et qu’au loin, dans une sorte de manège, où tapait un grand soleil, il y avait un cheval blond qui mourrait de soif et de faim. La mère savait qui était tout ce monde savaient sauf Lili. Le cheval blond savait qui il était, c’était le père de Lili, Spirit. La mère ne dit rien à Lili pour éviter de la faire paniquer. Le lendemain, le cow-boy en chef monta Spirit, pour le dompter, soudain, un cow-boy partit en expédition, ramena un indien et l’accrocha à un autre poteau. Le chef monta Spirit et réussit à le dompter mais ce n’était qu’une diversion pour que l’indien s’échappe. Il libéra tous les chevaux y compris Spirit. On sortit tous du ranch, mais Spirit avait disparu, il s’était fait kidnapper par les indiens. Une fois que la famille de Lili partit loin du ranch, la maman dit à Lili que le cheval blond était son père. La jeune fille dit qu’il faillait qu’on aille le sauver, mais (il y a toujours un mais) ils étaient tous d’accord que ce serait non, pourquoi ? Parce que le père avait abandonné sa femme et sa fille, alors pourquoi ils devraient le sauver ? Mais Lili se dit qu’il avait fait des bêtises dans le temps et que cela pouvait changer, alors Lili courut vers le camp indien. Mais le père se sentait bien et ne voulut pas partir. Lili triste et en colère donna un coup bon coup se sabot à son père, partit en galopant vers sa famille. La mère de Spirit, se dirigea vers celui-ci, et lui dit qu’elle était très déçu par rapport à son comportement envers sa famille et surtout envers sa femme et sa fille. Ils partirent tous et retournèrent vers le pays des licornes, ils reconstruisirent la maison. Et passèrent une vie pleinement saine et tranquille.

Lili a maintenant 15 ans, la maman décida toute seule de partir chercher son mari, elle partit pendant trois mois. Ce fut très long pour Lili. La maman revient mais toute seule sans Spirit car il était parti bien plus loin que la mère ne le pensait. Il est parti en Italie, et c'est à deux semaines d'ici, la mère commençant à être fatiguée, Lili partit donc à sa place pour lui redonner le sourire. Lili passa le portail des licornes, manque de chance, elle sortit au moment où il y avait une tempête, une tempête de neige. Sur le chemin, elle trouva un igloo, pour s'abriter et pour y passer la nuit. Tiens ? Quelqu'un a toqué à la porte ? C'est peut être un kidnappeur de licorne, ou pire encore ! Un tueur de licorne !! Elle n'ouvrit point la porte, elle était tellement pétrifiée qu'elle ne pouvait plus bouger. La nuit passa mais elle n'avait pas réussi à trouver le sommeil, elle sortit de l'igloo et pas très pas loin, elle vu une ombre, on aurait dit un ours, ou peut être la personne qui frappait à la porte hier soir, soudain la personne se tourna vers elle et courut vers elle, et la kidnappa..

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12 janvier 2018 5 12 /01 /janvier /2018 12:56

 

chapitre 1

Il était une fois une pauvre famille. Il y avait un très beau garçon, deux filles et un marchand. Les deux filles se disputaient , elles n'étaient jamais d'accord sur des sujets, et le garçon, disait à chaque fois « taisez-vous » et les filles disaient « occupe toi de tes affaires ». Le garçon était tellement gentil qu'il allait jusqu'à faire le ménage, le repassage, aller faire les courses. Le marchand dit j'en ai marre de régler vos problèmes, débrouillez-vous tout seul

Un jour le marchand reçu une lettre pour lui dire

qu'un ami lui avait donné des sous et acheté une villa. Le marchand part pour acheter des cadeaux pour ses enfants . Il se perdit et trouva un tout petit château illuminé. Il se demanda qui habitait ce minuscule château. Il n'osait pas rentrer dedans mais il faisait très chaud dehors, mais il alla quand-même se réfugier à l'intérieur pour ne pas mourir de faim, de froid. Il voudrait qu'il y ait une table plein de nourriture, mais il ne trouva rien. Il s'allongea par terre et trouva, non loin de lui, une couverture à sa disposition.

Le lendemain, le père rentra chez lui.

à suivre

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22 décembre 2017 5 22 /12 /décembre /2017 12:58

THE DEVIL OF PARIS

Un nuage de poussière apparut...

 

 

Cela faisait 1heure que j'étais de retour chez moi, toujours le médaillon dans la paume de ma main droite. Je n'arrivais toujours pas à me rendre compte de ce qui venait de ce passer. Comment cette créature avait-elle pu être là ?Comment avais-je pu la voir? Tant de questions se bousculaient dans ma tête, sans avoir une simple idée de leurs réponses. Pendant que je réfléchissais au pourquoi du comment, je me balançais d'avant en arrière, ma couverture autour de moi pour pouvoir m'y cacher au moindre bruit. Il était maintenant 2H40 ou 2H50 et je n'arrivais toujours pas à m'endormir ou même à me reposer. A partir du moment où je fermai les yeux un bruit, un craquement de parquet ou même mon propre souffle me fit sursauter. Je repensai toujours au moment où le lampadaire éblouit le visage du monstre. Cette tête si … monstrueuse et mélancolique. Assez! Il faut que tu dormes Élodie, et vite. Je me dirigeai donc vers ma chambre et soudain ma fenêtre s'ouvrit. J'allai vite la refermer et me dis que c'était le vent mais … non? Serait-ce? Non il faut vraiment que je dorme. D'un pas pressé, j'allai vers ma chambre. Je sautai dans mon lit, me glissai sous ma couette et fermai les yeux...

 

 

                                                                                                                  Eléonore. W

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15 décembre 2017 5 15 /12 /décembre /2017 13:25

Chapitre 1

 

Tout commença avec une énorme tempête à Arcadia Bay, j'étais allongée par terre, je m'appelle Maxine mais tous le monde m'appelle Max. Soudain je me levai, je vis un phare au loin . Je me rapprochai de celui-ci, le haut du phare me tomba dessus et à ce moment précis....

 

J'étais en cours de photographie, cette... cette tempête... ce n'était qu'un rêve ?

 

J'étais en cours de photographie avec Mr. Jefferson, il était en train de faire son cours. Je fis un selfie mais Mr. Jefferson le remarqua. Il commença a faire un cours sur le mot « selfie » :

  • « Donc, Max, vu que tu as réussis à attirer notre attention et que tu as l'air de vouloir participer au débat, pourrais-tu nous dire le nom du procédé à l'origine de l'autoportrait ?

  • Qui ? Moi ? Heu, je l'ai sur le bout de la langue...

  • Tu le sais ou tu ne le sais pas, Max, c'est simple. Est ce que quelqu'un a ici a révisé ?

  • Louis Daguerre, un peintre français, a inventé le daguerréotype, un procédé qui produisait des portraits sur une surface polie, comme un miroir, puis elle se tourna vers moi en disant, t'es officiellement classé rétro. Fail, dit Victoria

  • Bravo Victoria. »

 

Haaaa.... Victoria, elle est insupportable, elle veut toujours avoir raison et c'est la préféré (la chouchoute) de Mr. Jefferson.

La sonnerie retentit dans le couloir, la fin du cour. Avant que nous partions, Mr. Jefferson nous parla d'un concours : « Héros du Quotidien ». Je voulais partir de la salle de classe mais Mr. Jefferson me reteint pour me parler du concours :

    • « Max, as-tu fais ta photo pour le concours ?

    • Je n'ai pas eu le temps, j'avais un gros paquet de devoirs

    • Tu es meilleure photographe que menteuse, Max... Je sais qu'entendre un vieux croûton te faire la morale n'est pas « super fun », mais la vie n'attend pas. Tu es jeune, le monde t'appartient, et caetera, non ? Tu as un don, tu ressens le besoin de saisir des images, d'encadrer ta vision du monde. Maintenant , tu dois trouver le courage de partager ce don avec les autres. C'est ce qui fait la différence entre un artiste et un amateur ».

 

Je partis sans voix, je n'avais rien à dire. Je sortis de la classe pour aller au toilette et me mettre de l'eau sur la figure et remettre mes idées en place. Une fois arrivée aux toilettes, un magnifique papillon bleu se posa sur un seau près du lavabo. Puis j'entendis quelqu'un arriver dans les toilettes, je me mis dans un cabinet de toilette pour me cacher. La personne entra, c'est un garçon, il se parlait à lui même pour reprendre confiance en lui. Il dit : « C'est bon Nathan, relax... Ça va aller, mec. Respire un coup. C'est toi le chef du bahut... Je pourrais tout faire péter, si je le voulais... C'est toi le boss... Qu'est ce que tu veux ? ».

Une fille au cheveux courts et bleus avec un style un peu rock and roll et décalé entra à son tour dans le pièce. Et répondit :

  • « J'espère que tu as bouclé le périmètre, comme dirait mon horrible beau-père. Bon parlons, business.

  • Je n'ai rien à te donner.

  • Faux. Tu as un paquet de fric.

  • C'est ma famille qui a le fric, pas moi.

  • Oh, tu vas me faire pleurer petit fils de riche. Tout le monde sait que tu offres aux gamins du bahut... Je parie que ta gentille petite famille serait ravie de me filer de la thune. Pétard, j'imagine déjà les gros titres...

  • Laisse-les en dehors de ça, p...

  • Je pourrai dire à tout le monde que Nathan Prescott est un pauvre nul qui pleure comme une gamine et parle tout seul...

  • Pétard, tu ne sais pas qui je suis, ni ce dont je suis capable ! Nathan sortit un flingue en visant la jeune fille.

  • T'as trouvé ça où ? Qu'est ce que tu fais ? Arrête, pose ce flingue !

  • Ne me donne JAMAIS d'ordre. J'en ai ma claque qu'on essaie toujours de me contrôler !

  • Tu risques carrément plus que ça pour du trafic de drogues, là...

  • Je suis sûr que ne manquerais à personne, sale punk, hein ?

  • Range ton flingue, sale taré ! »

 

J'entendis le tir et la jeune fille s'écroula par terre, je voulus intervenir, mais à ce moment précis une chose étrange se passa, je pouvais remonter le temps...

J'étais revenue en cours de photographie, avec M. Jefferson qui racontais son baratin. Je me posai quelques questions, comment ai-je pus faire ça, et pourquoi ? Cela ne m'était jamais arrivé auparavant. C'est étrange...

 

Oh mince ! J'ai fait tomber mon appareil photo par terre ! Cela ne pouvait qu'arriver qu'à moi ! Oh mais je peux remonter le temps ! Peut être que si je reviens en arrière mon appareil photo ne se cassera pas ?! J'y crois ! Mon appareil est comme neuf ! Cela veut dire que je peux vraiment remonter le temps ! Mais c'est génial ! Il faut que j'en parle à personne, sinon il vont faire des expériences scientifiques sur moi, et, je n'ai pas envie de rester 24h sur 24 emprisonnée entre quatre murs toute ma vie !

La sonnerie retentit, il faut vite que j'ailles dans les toilettes ! Pour sauver la jeune fille au cheveux bleus !

Je courrus aux toilettes, j'attendis quelques minutes et le garçon arriva, et la fille aussi. Au moment, où j'allais tirer, je vis le bouton pour déclencher l'alarme à incendie, j'appuyai sur le bouton, la fille se sauva, le garçon tomba par terre, fit tomber son pistolet, je repris le pistolet et se sauva. Je demande ce qui allait arriver à la jeune fille, pourtant j'ai l'impression de la connaître, je l'ai déjà vu mais je ne sais plus où...

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8 décembre 2017 5 08 /12 /décembre /2017 13:04

Chapitre 3

 

    Pompon nous emmena dans sa villa luxueuse,

    il nous prépara un café et nous parlâmes :

    - « Je suis un chaton agent secret très réputé dans le monde entier, je sauve des animaux en détresse et lutte contre les humains psychopathe ! J'essaie d'anticiper les attaques terroristes ! »

    Nous l'écoutâmes avec des yeux ébahis en sirotant nos cafés.

    - « Il y a des années notre fondateur : Master Chaton, a voulu protéger les animaux de la planète! Les chatons sont dotés d'une intelligence que vous n'imaginez même pas! » 

    - « Pouvons-nous faire partie de votre agence ? »

    - « Ah non, vous n'êtes pas des chatons! »

    Après l'avoir supplié pendant quelques minutes, il accepta :

    - « D'accord, mais vous allez devoir passer un test d'agents secrets ! »

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